En 1984, dans le livre “Marseille, Comme un matin d’insomnie” le photographe Thierry Ibert témoigne de la destruction du vieux quartier de la Porte d’Aix et Tahar Ben Jelloun y appose une série de poèmes.
33 ans plus tard, ses textes résonnent toujours fortement avec le quartier en pleine transformation.
Nous avons tenté de capter l’atmosphère de cette place qui semble attendre d’advenir, bien que de nouveaux usages se dessinent peu à peu.