La nature s’est réappropriée la rue et ses interstices, ouvrant la voie aux végétaliseurs urbains. Les graffeurs aussi s’emparent des murs, les escaladant pour les écrire. La rue semble à la fois abandonnée et remplie de vie, un vélo traverse le cadre pour nous emmener de l’autre côté, une invitation à tourner la page…
Crédits photo : Guillaume Terepata